Je n’aime point ceux qui se font un mérite d’avoir péniblement œuvré. Car si c’était pénible, ils auraient mieux fait de faire autre chose. La joie que l’on y trouve est signe de l’appropriation du travail et la sincérité de mon plaisir, Nathanaël, m’est le plus important des guides 
"Les nourritures terrestres" - página 43, André Gide - Sociéte du Mercure de France, 1897 - 210 páginas 
Os frutos da Terra (1897)
                                    
André Gide: Coisa
Explore frases interessantes em coisa.
                                        
                                        Nos actes s'attachent à nous comme sa lueur au phosphore. Ils nous consument, il est vrai, mais ils nous font notre splendeur. Et si notre âme a valu quelque chose, c'est qu'elle a brûlé plus ardemment que quelques autres 
"Les nourritures terrestres" - página 21, André Gide - Sociéte du Mercure de France, 1897 - 210 páginas 
Os frutos da Terra (1897)
                                    
                                        
                                        "Os frutos da Terra" - página 82, André Gide; tradução de Sérgio Milliet - Rio de Janeiro: Nova Fronteira, 1982 - 214 páginas 
Os frutos da Terra (1897)
                                    
                                        
                                        "Os frutos da Terra" - página 167, André Gide; tradução de Sérgio Milliet - Rio de Janeiro: Nova Fronteira, 1982 - 214 páginas 
Os frutos da Terra (1897)
                                    
“As coisas apenas valem pela importância que lhes damos.”
Variante: As coisas apenas valem pela importância que damos a elas.
“As coisas mais belas são ditadas pela loucura e escritas pela razão”
                                        
                                        Les choses les plus belles sont celles que souffle la folie et qu'écrit la raison. 
Poésie: Les cahiers d'André Walter. Les poésies d'André Walter. Les nourritures terrestres. Les nouvelles nourritures. Souvenirs de la cour d'assises. Si le grain ne meurt. Journal (1889 à 1916) - Página 529, André Gide - Gallimard, 1952