"Certes, il existe un clivage entre le sujet et l’organisme auquel il s’appareille, non par le biais de l’âme, mais grâce à la matérialité du langage. La parole est en quelque sorte ‘’clivée au corps’’ et l’organisme en garde la mémoire, par exemple sous la forme du symptôme."
Fonte:«Comment les neurosciences démontrent la psychanalyse », Éditeur Flammarion, 2004, page 11, ISBN 2-08-210369-2