Les corps, n’ayant en eux rien d’immuable, sont naturellement sujets au changement, à la dissolution, et à des divisions infinies ; il leur faut nécessairement un principe qui les contienne, qui en lie et en affermisse les parties : c’est ce principe d’unité que nous appelons âme
Némésius. De la nature de l'homme, traduit pour la prémière fois du grec en français, par J. B. Thibault, página 29 https://books.google.com.br/books?id=iGZjAAAAcAAJ&pg=PA10, Chez Hachette, 1844